Marquage du cheval, conséquences énergétiques

Mon cheval est marqué, quel impact pour lui ?

Si de nos jours marquage au fer a tendance être délaissé, notamment pour des raisons de bien-être, de nombreuses personnes achètent ou récupèrent encore des chevaux marqués, au fer rouge principalement. Parmi eux, des ibériques et des camargues, régions où le marquage au fer rouge se pratique encore. Il tend cependant à être remplacé par le marquage à froid (à l’azote liquide), plus coûteux et plus délicat à appliquer, mais considéré comme beaucoup moins douloureux.

Le marquage au « fer rouge » consiste à chauffer un brandon, objet métallique forgé à la forme qu’on souhaite « imprimer », et à l’appliquer sur la peau de l’animal pour la cautériser. La brûlure laisse une cicatrice indélébile. Selon la plupart des sources disponibles, ça a été longtemps considéré comme la manière la plus fiable de marquer un animal, notamment dans un contexte de pâturage extensif avec mélange de troupeaux.

Aujourd’hui, en Camargue, la « ferrade » est considérée comme une tradition à conserver. Les conditions dans lesquelles le poulain est marqué, il y a des vidéos sur internet, laissent supposer que le rapport à l’homme et l’impact émotionnel seront à considérer, lors de l’achat d’un camargue.

Voici ce qu’on peut lire sur Wikipedia, dans Marquage au fer rouge :

« Chez le cheval, dont la sensibilité à la douleur a été longtemps niée, le marquage au fer rouge entraîne une exposition de la peau à une chaleur de 700 degrés. Les études vétérinaires révèlent que le cheval marqué au fer garde une température corporelle plus élevée de 4 °C le jour de son marquage, et de 2 à 4 °C les six jours suivants. La partie du corps qui a été marquée présente les lésions typiques d’une brûlure au troisième degré, avec des chairs nécrosées. »

J’ai pu, pour ma part, constater que ce type de marque, même des années plus tard, congestionne la zone et entrave la libre circulation de l’énergie.

Le marquage à froid, à l’azote, quant à lui, provoquerait un œdème mais pas de nécrose. Les poils repoussent, mais blancs, car il y a destruction des mélanocytes, mais non des follicules pileux.

Dans ma pratique, j’ai remarqué que la plupart des marques ont une « charge » énergétique intrinsèque. Comme toutes les cicatrices, elles portent non seulement le choc de la blessure imprimée aux cellules corporelles mais également la violence du contexte. Le marquage à chaud d’un poulain maintenu par plusieurs hommes au milieu d’une foule alors qu’il vient d’être séparé de sa mère sans aucune précaution de mise en confiance n’aura certainement pas le même impact que si c’est fait avec sa mère à côté et tenu par un humain dont il a l’habitude …

Le marquage à froid peut aussi porter une mémoire négative plus ou moins forte selon les conditions dans lesquelles il a été opéré.

Libération des cicatrices : libération des mémoires négatives.

L’avantage de travailler en libération des cicatrices sur une marque est que cela opère sur le trauma lié à cet événement. Inclus dans une séance de shiatsu, ce travail permet d’optimiser la libération des mémoires à charge négative, en permettant au cheval de retrouver de la sérénité, et aussi une certaine confiance en lui et en l’humain.

Pour savoir si la marque de votre cheval est chargée, posez les doigts dessus et attendez un peu : si vous êtes soudain nauséeux (se), vous avez la réponse!

En parallèle des séances, ou en amont, vous pouvez utiliser une fleur de Bach « Star of Bethléem » indiquée pour les chocs émotionnels, et masser la cicatrice avec (et avec une huile décongestionnante). Pour une synergie sur-mesure, vous pouvez vous rapprocher de conseillers en Fleurs de Bach, en parallèle du suivi shiatsu.

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